Cuuuuuuumbrailles, nena !!!!


Como los gatos, los blog tienen siete vidas, y para comenzar la sexta vida, o segunda, según desde donde quieran comenzar a contar o descontar, del blog de Taquetepa, les presentamos un nuevo proyecto, otra música para escuchar.
Esta nueva aventura tiene su origen en una borrachera con ron de Filipinas frente a una bandeja de discos.
Érase una vez una bella parejita que se paseaba por las callecitas de Paris empujando un cochecito con una hermosa princesita apolillando dentro, en la búsqueda ansiosa de una disquería específica.
Preguntándole a los transeúntes, a los dueños de los negocios que cruzaban y a los policías que desarmaban una manifestación de afiliados del partido socialista que pedían un cambio en la política del gobierno de Hollande hartos de las burlas de los simpatizantes del UMP y del Front National que les decían "zurditos" señalándolos con el dedo índice y cagándoseles de risa en la cara, llegaron a la disquería errónea, a la cual, por una cuestión de cortesía entraron.
En medio de montañas de discos de música electrónica, detrás del monitor de una computadora, encontraron al dueño de la disquería, a quien le preguntaron a los gritos, dado el alto volumen de la música que reinaba en el pequeño establecimiento, si tenía material de América Latina. Excitado por la presencia de clientes y con ninguna ganas de dejarlos partir sin comprar algo, el propietario, a los saltos, haciendo gestos y vociferando que hacía poco había recibido nuevo material exclusivo, partió para el fondo del local.
Al principio intentaron seguirlo, pero fue en vano, porque cuando se decidieron, el propietario ya estaba de vuelta abriendo uno de los dos discos que había traído y poniéndolo en la bandeja para que sus extraños clientes escucharan.
Los jóvenes al escuchar esa música electrónica, intentaron explicarle que no era eso lo que buscaban preguntándole: no tiene nada de Hermeto Pascoal ?
Levantando una ceja en clara demostración de asombro y mientras preguntaba : Eso con qué se come ? abrió el segundo disco y lo puso a girar en la bandeja.
Los jóvenes se miraron diciéndose: Es el momento de rajar !!! cuando los primeros golpes del kick resonaron en la boca de sus estómagos, el güiro hizo marcar el tiempo con sus pies y la primer melodía los obligó a mover la cabeza mientras las caderas se tomaban la libertad de girar indiscretamente.
No hubo duda, este disco es para Space Plumber !!!
Luego, el momento más difícil, más trabajoso de esta historia. La parte donde los jóvenes intentan coordinar un día y un horario para pasarle el disco-regalo a la Mascotte.
Finalmente, después de meses, los tres se encuentran en el salón de la cautiva frente a una botella de Don Papa y  con la música de Dengue Dengue Dengue sonando en la fonola.
Y así, bajo los efectos del alcohol y los efluvios de la música electrónica, decidieron que iban a formar un grupo de cumbia electrónica.
Y al cabo de otra buena cantidad de meses transcurridos lograron armar esto, que no es lo que pensaron al principio,
pero que hoy les presentamos :
Comme les chats, les blogs ont sept vies, et pour commencer la sixième - ou la deuxième, selon par où vous voulez commencer à compter ou décompter - du blog de Taquetepa, nous vous présentons un nouveau projet, une autre musique à écouter.

Cette nouvelle aventure est née d’une cuite au rhum des Philippines face à un tourne-disque.

Il était une fois un joli petit couple qui se promenait dans les rues de Paris, poussant une poussette où roupillait une charmante petite princesse, à la recherche avide d’un certain disquaire.

Demandant aux passants, aux propriétaires des boutiques qu’ils trouvaient sur leur chemin et aux policiers qui dispersaient une manifestation d’adhérents au parti socialiste qui réclamaient un changement dans la politique du gouvernement de Hollande, las des moqueries des sympathisants de l’UMP et du Front National qui les traitaient de « gauchistes » en les montrant du doigt et en se payant leurs têtes, ils arrivèrent chez le mauvais disquaire chez qui, par courtoisie, ils entrèrent tout de même.

Au milieu de montagnes de disques de musique électronique, derrière l’écran d’un ordinateur, ils trouvèrent le propriétaire du magasin à qui ils demandèrent en braillant, à cause du volume élevé de la musique qui régnait dans le petit local, s’il avait quelque chose d’Amérique latine. Excité par la présence de clients et n’ayant aucune envie de les laisser repartir les mains vides, le propriétaire, sautant dans tous les sens, gesticulant et vociférant qu’il venait de recevoir du nouveau matériel exclusif, disparut dans le fond du magasin.

Ils essayèrent tout d’abord de le suivre, mais ce fut en vain car lorsqu’ils se décidèrent, le propriétaire était déjà de retour, ouvrant un des deux disques qu’il avait ramenés et le posant sur le tourne-disque afin que ses étranges clients l’écoutent.

Les jeunes gens, en entendant cette musique électronique, tentèrent de lui expliquer que ce n’était pas ce qu’ils cherchaient et lui demandèrent : vous n’avez rien d’Hermeto Pascoal ?

Levant un sourcil en signe manifeste d’étonnement tout en demandant : ça se mange avec quoi, ça ?, il ouvrit le second disque et le mit à tourner sur la platine.

Les deux jeunes se regardèrent comme pour se dire : c’est le moment de se casser !!!, lorsque les premiers coups du kick résonnèrent au creux de leur estomac, le güiro leur fit taper le tempo de leurs pieds et la première mélodie les obligea à remuer la tête tandis que leurs hanches prenaient la liberté d’onduler, pas très discrètement.

Cela ne faisait aucun doute, ce disque était pour Space Plumber !!!

Puis vint le moment le plus difficile, le plus laborieux de cette histoire. Le chapitre où ces jeunes essaient de caler un jour et une heure pour donner le disque-cadeau à la Mascotte.

Finalement, plusieurs mois plus tard, tous trois purent se retrouver dans le salon de la cautiva face à une bouteille de Don Papa et avec la musique de Dengue Dengue Dengue sonnant sur le pick-up.

Et ainsi, sous les effets de l’alcool et les effluves de la musique électronique, ils décidèrent de former un groupe de cumbia électronique.

Et après un autre bon paquet de mois, ils réussirent à monter ceci, qui n’est pas ce à quoi ils avaient pensé au début, mais que nous vous présentons aujourd’hui :

 
 
 
Za[B'k]14
(un n'importe quoi latino éléctronique)



Pour le moment, vous pouvez visiter notre page sur Bandcamp (zabk14.bandcamp.com), mais dans un ou deux siècles, peut-être, François créera une page sur Facebook pour que tous nos fans soient au courant des nouveautés du groupe.
Soyez attentifs !!!
Por el momento pueden visitar nuestra página en bandcamp (zabk14.bandcamp.com), pero en uno o dos siglos, quizás, François va a hacer una página en Facebook para que todos nuestros fans estén al tanto de las noticias del grupo.
Estén atentos !!!

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